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les soeurs inseparables
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les soeurs inseparables

VIP-Blog de haleycoloume
  • 28 articles publiés
  • 17 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 26/06/2006 11:05
    Modifié : 15/08/2006 23:05

    fille (14 ans)
    Origine : haubourdin
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    ROSA PASCAL OBISPO

    29/06/2006 17:47



                                                                .ROSA / PASCAL OBISPO .

    Quand d'obéir dégoûte
    On s'enfonce dans la vase
    Y'a toujours une goutte
    Qui fait déborder un vase

    Et puis se voir dire non
    Enfin, enfin le dire
    Pour respirer à fond
    Se soulager du pire

    C'était çà ou crever
    Sans fierté à genoux
    Quand y a rien à rêver
    Qu 'est ce qu'on risque après tout

    T'avais rien d'mandé là... Rosa
    Mais c'est tombé sur toi... ce jour-là
    Tu a fais le premier pas
    Et y'a eu Mandela après toi

    T'avais rien d'mandé là... Rosa
    Mais c'est tombé sur toi... ce jour-là
    T'as fait qu'ouvrir la voie
    T'as eu ce courage là... Rosa

    Pour ceux qui dans l'histoire
    N'ont pas retenu ton nom... non
    Tu es la première Noire
    A avoir osé dire non

    Parce qu'assise dans un bus
    Un blanc voulait ta place
    Avec la peur en plus
    De le regarder en face

    Si tu voyais Rosa
    Les routes que tu as faites
    Parce qu'un jour tu osas
    Simplement tenir tête

    T'avais rien d'mandé là... Rosa
    Mais c'est tombé sur toi... ce jour-là
    Tu a fais le premier pas
    et y'a eu Mandela après toi

    T'avais rien d'mandé là... Rosa
    Mais c'est tombé sur toi... ce jour-là
    Tu n'as fait qu'ouvrir la voie
    Mais tu as eu ce courage là

    Rosa
    Rosa

    T'avais rien d'mandé là... Rosa

    Rosa
    Rosa
    Rosa

    T'avais rien démandé là... Rosa
    Mais c'est tombé sur toi... ce jour-là
    Tu a fais le premier pas
    et y'a eu Mandela après toi

    T'avais rien d'mandé là... Rosa
    Mais c'est tombé sur toi... ce jour là
    Tu n'as fait qu'ouvrir la voie
    Mais tu as eu ce courage là

    Rosa





     
     


     

    MARIE MAI

    29/06/2006 17:45



    MARIE MAI IL FAUT QUE TU TEN AILLE .

    Y'a plus rien à faire
    Vivre avec toi c'est pire que l'enfer
    Même tes bons côtés me tombent sur les nerfs
    Ta présence me dérange
    C'est vraiment le temps que ça change

    Il faut que tu t'en ailles
    J'ai plus envie de te voir
    J'veux vraiment plus rien savoir
    J'veux plus faire semblant de te trouver drôle
    Sans histoire
    Il faut que tu t'en ailles

    Oh oh oh oh
    Tout m'emmerde
    Ton chien, ta mère, tes problèmes
    Tous les amis bizarres que tu ramènes oh yeah
    Y'a pu rien qui vaille
    T'es même plus sur le bail
    Trop tard pour y penser
    Pas la peine de supplier

    C'est là que s'arrête la galère
    J'ai besoin d'un peu d'air

    Il faut que tu t'en ailles
    J'ai plus envie de te voir
    J'veux vraiment plus rien savoir
    J'peux même plus supporter que tu me frôles
    Au revoir!
    Il faut que tu t'en ailles

    C'est là que s'arrête la galère
    J'ai besoin d'un peu d'air

    Il faut que tu t'en ailles
    J'ai plus envie de te voir
    J'veux vraiment plus rien savoir
    J'peux plus t'entendre pleurer sur mon épaule
    Sans histoire
    Au revoir!
    Il faut que tu t'en ailles

    Il faut que tu t'en ailles
    J'ai plus envie de te voir
    J'veux vraiment plus rien savoir
    J'peux plus t'entendre pleurer sur mon épaule
    Sans histoire

    Avant ce soir, il faut que tu t'en





     
     


     

    detendre yoga

    27/06/2006 12:53



    Pour un bien être au quotidien voici quelques exercices à faire au levé le matin ou le soir avant d'aller se coucher.
    Quand vous exécutez ces exercices, ne donnez pas d'à-coups en bout de mouvement.
    Après avoir atteint le point d'étirement maximum restez ainsi et prenez deux inspirations et expiration profondes par le nez puis essayez de sentir la circulation de l'énergie dans les méridiens impliqués. Plus vous vous détendez et plus vous êtes capable d'obtenir une grande élongation.
    Il est important que vous gardiez votre corps aussi souple et équilibré que possible et ces exercices vous y aideront et vous permettrons de constater vos faiblesses sur une ou plusieurs postures directement liées à leurs méridiens.
    Vous pourrez ainsi les pratiquer quand vous en ressentirez le besoin.

    I) Méridiens du poumon et du gros intestin .
    Croisez les mains derrière votre dos tenez vous droit inspirer deux fois par le nez et expirer par le nez. Puis enrouler la tête en avant pour que le menton touche votre poitrine et pliez-vous en avant et soulevez vos bras aussi haut que possible. Inspiré deux fois par le nez et expirez par le nez.
    ATTENTION dans ce genre d'exercice ou la tête est enroulée vers le bas, il faut toujours redresser en premier le menton .

    Cet exercice étire les méridiens du poumon et du gros intestin2) Méridiens de rate pancréas et de l'estomac
    Asseyez-vous à la japonaise et croisez vos mains le plus haut possible au-dessus de votre tête, respirer deux fois par le nez.
    ATTENTION Pliez-vous vers l'arrière jusqu'à ce que votre dos repose à plat sur le sol, vous pouvez vous aider en relâchant les bras pour adopter la position et remettre les bras en position d'étirement. Restez ainsi pendant deux respirations.
    Attention à la remontée en position originale s'aider des mains si besoin est.
    Cet exercice favorise la saine circulation de l'énergie.
    Si vous avez besoin de vous étirer davantage faites le même exercice avec les paumes tournées vers le plafond.

    Cet exercice étire les méridiens de rate pancréas et de l'estomac3) Méridiens du coeur et de l'intestin grêle
    Vos plantes de pieds étant l'une contre l'autre, amenez votre talon le plus près possible de votre corps.
    Maintenez vos pieds avec vos mains, tenez vous droit les épaules ouverte inspirer deux fois dans cet position. Puis essayez de toucher vos doigts de pieds avec votre tête, vos coudes restant sur le sol ou contre votre corps.
    Détendez-vous complètement et prenez deux inspirations profondes.
    ATTENTION dans ce genre d'exercice ou la tête est enrouler vers le bas il faut toujours redresser en premier le menton, c'est le menton qui vous permettra de retrouver la position d'origine.
    Si vos genoux ne reposent pas sur le sol, ceci indique un mauvais fonctionnement du coeur et de l'intestin grêle.
    Si un côté est plus haut que l'autre, un problème peut exister dans les méridiens de ce côté.

    Cet exercice étire les méridiens du coeur et de l'intestin grêle.
    ) Méridiens du rein et de la vessie
    Allongez vos jambes tendues devant vous tenez vous droit inspirer deux fois et touchez vos doigts de pieds avec vos mains. Pliez-vous ensuite en avant et touchez vos genoux avec votre tête. Au point maximum d'élongation, détendez-vous et prenez deux inspirations profondes.
    ATTENTION dans ce genre d'exercice ou la tête est enrouler vers le bas il faut toujours redresser en premier le menton.
    Si vous ressentez une douleur d'un côté, cela indique un mauvais fonctionnement dans les méridiens de ce côté.

    Cet exercice étire les méridiens du rein et de la vessie5) Méridien du constricteur du coeur et des trois foyers
    Prenez si possible la position du lotus ou du demi-lotus ou comme sur les photos ou les jambes ne sont pas l'une sur l'autre tenez vous droit puis inspirer deux fois.
    Croisez vos bras et prenez avec vos mains les genoux opposés si vous pouvez.
    Pliez-vous en avant et restez la tête sur le sol. Maintenez la position et prenez deux respirations profondes, détendez-vous complètement.
    ATTENTION dans ce genre d'exercice ou la tête est enrouler vers le bas il faut toujours redresser en premier le menton.
    Une raideur dans les bras indique un mauvais fonctionnement des méridiens.
    Dans un état de complète relaxation vous pourrez ressentir bien plus clairement toute perturbation dans ces méridiens.

    Cet exercice étire les méridiens du constricteur du coeur et des trois foyers.
    6) Méridien du foie et de la vésicule biliaire
    Asseyez-vous avec les jambes tendues et écartées le plus possible et mettez les mains sur un genoux tenez vous droit, inspirer deux fois puis essayer de touchez les orteils avec la main opposée ou avec les deux mains puis enrouler la tête pour quelle touche votre jambe.
    Ne pliez pas les genoux.
    Au point d'étirement maximum, prenez deux respirations profondes et détendez-vous.
    ATTENTION dans ce genre d'exercice ou la tête est enrouler vers le bas il faut toujours redresser en premier le menton.
    Toute raideur que vous pouvez ressentir indique un mauvais fonctionnement du méridien en question.

    Cet exercice étire les méridiens du foie et de la vésicule biliaire





     
     


     

    LE MASSAGE DU SHIATSU

    27/06/2006 12:51



    Le terme shiatsu (shi: doigt; atsu: pression) est un terme japonais qui remonte au début du siècle.
    A cette époque, le gouvernement japonais entreprit de légiférer la profession de masseur. Trois types de massages furent alors reconnus: l'anma, c'est-à-dire le massage traditionnel, le massage de type occidental, et une troisième catégorie qui fut nommée shiatsu.

    En fait, le Shiatsu regroupe une partie des techniques employées dans l'Anma, principalement les techniques de pression, et s’inspire des techniques de kuatsu (réanimation) utilisées dans les arts martiaux. On ne peut cependant décrire une technique de shiatsu, ni même une théorie de base, car le Shiatsu regroupe plusieurs écoles inspirées par quelques maîtres. On peut citer ainsi Tokujiro Namikoshi ou Shizuto Masunaga dont des ouvrages ont été traduits en langues occidentales, mais aussi Noguchi qui inspira Itsu Tsuda et son mouvement régénérateur, ou Abe qui enseigne au temple d'Eiheiji Betsuin à Tokyo.

    Le Shiatsu repose bien sûr sur les principes généraux de la médecine orientale et en particulier sur la circulation d'énergie et sur les méridiens. Cependant, la théorie des cinq éléments ou le système des Trois Foyers n'est pas pris en ligne de compte. La localisation des points même ne joue pas un rôle fondamental dans certaines écoles ou encore diffère telle légèrement des localisations officielles. De plus, le Shiatsu intègre des méthodes de diagnostic spécifiques à partir des zones du ventre et du dos.

    Le Shiatsu, en fin de compte, demande beaucoup plus à l'intuition et au savoir-faire du praticien qu'à sa connaissance médicale. Un certain nombre de techniques de base et les points ou les zones de référence suivant les écoles sont cependant indispensables.

    Les techniques de base sont constituées de plusieurs méthodes de pression: avec le pouce, avec plusieurs doigts, avec la paume, avec le coude, avec le genou (voir dessin). A ces techniques s'ajoutent des frottements, des pressions légères de la main, ou des étirements. Toutes ces méthodes sont destinées à faire circuler l'énergie et à rétablir son équilibre dans l'organisme.

    Nous décrirons ici quelques-unes des théories et méthodes de S. Masunaga, qu'il appelle le Zen Shiatsu. Celle de T. Namikoshi s'apparente plus à la simple acupressure (pression de certains points avec le pouce) et on les retrouvera parfois dans les rubriques symptômes.
    Le rééquilibrage de Kyo, Jitsu selon s. Masunaga 1.
    La technique de Masunaga repose sur l'utilisation conjointe des deux mains à des fins de tonification et de dispersion (l'auteur emploie ici le terme de « sédation). En effet, si un déséquilibre existe dans la circulation de l'énergie, il apparaîtra une zone jitsu, c'est-à-dire une zone d'excès d'énergie, de plénitude ou encore une zone trop yang. A cette zone jitsu correspond forcément une zone kyo, c'est une zone de vide, une zone trop Yin. Masugana constate que, trop souvent, la médecine ne traite qu'à cette zone jitsu, cette zone congestionnée. Il propose de remédier à l'excès d'énergie en stimulant la zone voisine qui est en état de kyo.

    Il faut tout d'abord déterminer sur le corps de la personne massée les zones jitsu. Celles-ci se remarquent à leur caractère tendu, dur, trop concentré. Il faut appliquer légèrement sur cette zone la main gauche: elle aura un effet sédatif, dispersant. .
    Avec la main droite, vous cherchez la zone kyo, la zone vide, gonflée, molle. Sur cette zone vous appliquez une des techniques tonifiantes du shiatsu, c'est-à-dire une des techniques de pression déjà décrites. L'emploi du pouce, de la paume, du coude, du genou est évidemment fonction de l'emplacement zone kyo, et de la force de la personne massée. L'effet équilibrant de ce massage est parfaitement mis en évidence par le schéma de Masunaga que nous reproduisons ici.

    Le rôle des mains est toujours le même:
    main gauche :
    - effet sédatif sur zone tendue;
    main droite :
    - recherche de la zone kyo correspondante et travail tonifiant de celle-ci.
    La précision théorique qui sous-entend un tel massage est évidemment très différente de celle de l'acupuncture et elle laisse une large place à l'intuition du praticien.
    Cette méthode se révèle cependant très efficace et vous pouvez essayer de l'employer, par exemple, dans le cas du massage du ventre. Face à des massages trop souvent stéréotypés, il faut surtout retenir deux points de l'enseignement du shiatsu de Masunaga.
    D'un point de vue technique, c'est l'utilisation conjointe des deux mains agissant comme deux pôles, tonifiant et dispersant. D'un point de vue général, c'est l'utilisation de l'intuition du masseur qui doit se laisser guider par celle-ci même s'il ne connaît pas parfaitement les localisations des points d'acupuncture.



    Commentaire de pllll (03/07/2006 19:24) :

    nul




     
     


     

    LA RELAXATION

    27/06/2006 12:39



    Yoganidrâ (la relaxation)

    En sanskrit yoga-nidrâ signifie yoga du sommeil. Yoga c’est l’union, l’union de la conscience et de l’énergie, du visible et de l’invisible. Le sommeil c’est l’inconscient. Le yoga c’est la prise de conscience, la clarté, la lucidité, l’observation de ce qui échappe à l’attention ordinaire. Yoga-nidrâ c’est donc l’infiltration , la pénétration de la conscience dans cette zone obscure, opaque, inerte qu’est le sommeil.

    Dans le yoga classique yoga-nidrâ n’existe pas, c’est une « technique » purement tantrique, une technique à part, en marge, et qui pourtant demande une grande habitude du prânâyâma, de la concentration et surtout de la méditation. D’une certaine façon, yoga-nidrâ se situe à un niveau élevé dans la « hiérarchie » tantrique. Autrement dit on ne peut réellement en faire avec bénéfice qu’au bout de quelques années de yoga.

    Etrange, n’est-ce pas ?

    La relaxation est une méthode, un objectif, préalable à toute pratique, soit-elle sportive, mentale ou spirituelle. En effet on n’imagine pas de travailler sur son corps, son souffle et ses pensées sans s’être défait des tensions personnelles ou du stress ambiant.

    Normal, n’est-ce pas ?

    Si on suit le fil conducteur, yoga-nidrâ et relaxation ne seraient pas la même chose. Alors, pour situer clairement l’un et l’autre, déterminons avec précision qui ils sont respectivement. Ensuite pourrons-nous peut être faire une synthèse.

    Yoga-nidrâ : scénario pour une continuité de conscience
    L’objectif de yoga-nidra est d’investir consciemment le sommeil. Bon an mal an, nous dormons en moyenne huit heures par nuit, soit un tiers de notre vie. Un tiers dans lequel nous sommes inconscient de ce qui se passe, de qui nous sommes et de ce que nous faisons. Un tiers de balck-aout, de torpeur, d’oubli. Imaginez, sur quatre-vingt cinq années de vie cela représente presque vingt cinq ans ! Vingt cinq ans durant lesquels nous n’avons été conscient de rien, ou presque, hormis quelques éclairs dans les rêves ! Pas même de quoi produire de la lumière pour un quart d’heure en quatre vingt cinq ans !

    Comprenez que ce soit intolérable pour un yogi en quête de conscience, et pour un être humain pas trop abruti.

    Comme on fait son lit on se couche, voilà le secret ! Impossible d’espérer flirter avec la conscience pendant la nuit si l’on ne s’y est pas préparé dans la journée. C’est l’une des trois parties de yoga-nidrâ : les pratiques de journées vont, petit à petit, activer les énergies qui produiront des réveils furtifs et prégnants. La deuxième partie c’est les techniques de nuit, à faire lors de réveils spontanés ou provoqués. Enfin la troisième partie c’est les séances de yoga-nidrâ elles-mêmes à pratiquer de préférence le soir ou la nuit. Le sommet de l’art étant qu’elles se fassent toutes seules pendant le sommeil, devenu alors conscient.

    Ainsi la nuit va-t-elle changer, va-t-elle être parsemée de petits réveils accompagnés d’une prise de conscience suffisamment dynamique pour permettre de relancer une technique. Loin d’être une pathologie, ces petits réveils assurent des nuits savoureuses et réparatrices : la conscience attise l’énergie alors que l'inconscience la diminue. Se réveiller de cette façon est gage d’une meilleure vitalité. Ceci étant dit simplement pour démystifier la crainte que l’on pourrait avoir à envisager de se réveiller à plusieurs reprises. On a vite fait de dramatiser… Mais l’objectif de yoga-nidrâ n’est pas là, ou pas que là. C’est de profiter du désordre mental pour aller plus loin dans l’exploration de notre intériorité parce que, dans le sommeil, l’agencement habituel du mental est défait, tout s’emmêle dans une apparente incohérence. La structure de notre mode de pensée, de notre intelligence, de notre personnalité s’effondre pour laisser place à des règles inconnues. Nous n’avons plus les mêmes barrières, les mêmes résistances, les mêmes conditionnements, soient-ils « karmiques », culturels, moraux, sentimentaux ou émotifs. Il en est de même pour notre dépendance aux autres et au mental collectif de l’espèce, ce réservoir circonvenant nos comportements. Durant la nuit, quand tout le monde dort, tout cela est au repos, ainsi un espace non imprégné de ces influences s‘ouvre-t-il à nous. Voilà pourquoi être conscient dans son sommeil est important. Il n’est plus utile de déjouer l’ordre et les protections mentales pour toucher directement, sans effort, les zones les plus proches du soi.

    Enfin l’investigation du sommeil et de la nuit rapproche, familiarise avec la mort, et c’est là sans doute la quête principale de toute recherche intérieure. La nuit quand tout le monde dort, et même son propre corps, le rapport au silence et à la solitude prend une dimension plus intime, plus abrupte mais aussi révélatrice de nos propres peurs, de nos propres angoisses et des blocages qui y sont liés. La mort rode, tout le temps, partout, et dans ces moments privilégiés d’isolement il est possible de l’apercevoir, comme un parfum lointain et si proche à la fois. La vie fait connaître la mort, comme la mort fait connaître la vie, le reste – discours, philosophies, morales, etc. - n’est que balivernes qui ne pèsent pas lourd dans les profondeurs de nos entrailles, juste là où la mort nous arrachera notre dernier souffle.

    La méthode de yoga-nidrâ
    On va trouver trois types de pratiques : celles de jour, celles de nuit et les séances proprement dites. Le point commun est que ces trois types de pratiques font appel à des techniques tout à fait classiques mais elles sont déclinées différemment pour les besoins de la cause, ceux de yoga-nidrâ. Elles s’appuient sur une observation, une perception et un ressenti intense des sens, principalement le toucher, la vue et le son. Les séances de yoga-nidrâ ne sont rien d’autre que des méditation tantriques classiques dans lesquelles sont ajoutés quelques éléments spécifiques au yoga-nidra qui favorisent l’endormissement et des respirations modifiées, soit allongées, soit ralenties, soit déstructurées qui permettent d’infiltrer l’espace dans lequel se produit le passage de la veille au sommeil. Ces séances utilisent ce qu’on appelle l’imaginaire tantrique, sortes de scénarios basés sur les sensations.

    Il faut évidemment savoir se lâcher, s’abandonner sans pour autant perdre toute vigilance et dans ces zones entre deux, entre chien et loup, veille et sommeil, conscience et oubli, la maîtrise du prânâyâma, de la concentration et de la méditation est utile, sans doute indispensable pour franchir les passages habituellement si bien gardés dans l’état de veille.

    La relaxation
    Se relaxer c’est d’abord prendre conscience des tensions neuromusculaires et respiratoires, des blocages dans l’énergie et des conditionnements de la pensée. C’est ensuite la mise en œuvre de moyens pour les défaire qui devrait aboutir à une mise en disponibilité profonde de l’être. Ceci est tout au moins le tableau complet et idyllique de ce que devrait être la relaxation.

    Qu’en est-il en réalité ?

    Se relaxer se limite le plus souvent à l’étirement et à la détente du corps qui l’un et l’autre on bien évidemment une incidence sur l’énergie et la pensée. Etirer le corps, le détendre, et le tour est joué ! Mais pas suffisamment bien joué car il manque le souffle et le recul de la pensée.

    De la relaxation dynamique au training autogène en passant par la sophrologie et les propositions new-age, il existe de nombreuses méthodes, contemporaines ou plus anciennes. On peut bien sûr dire qu’elles viennent toute du yoga mais en même temps c’est un fond commun à l’humanité, pour bien se relaxer il suffit de laisser faire, de laisser aller son intuition. L’originalité de la relaxation dans le yoga tient au fait que l’élément central reste la respiration. Les étirements et les rotations du corps seront toujours associés à des souffles spécifiques. De même les moments de détente profonde se feront dans la posture du cadavre, clin d’œil à la mort, avec une respiration appropriée. Certains prânâyâma eux-mêmes ont une incidence profonde sur la détente, nâdî shoddhana et shitalî par exemple.

    Dans la relaxation contemporaine le système de visualisation et de rotation de la conscience dans le corps est également utilisé, comme dans le yoga, mais à des fins différentes, principalement pour détendre le niveau physiologique, muscles, tendons, organes internes. C’est un peu une fin en soi alors que dans le yoga c’est juste un préalable.

    Et alors ?

    Yoga-nidrâ et relaxation n’ont pas la même finalité, ils ne s’inscrive pas sur le même plan dans l’espace chronologique. La relaxation est une mise en disponibilité, yoga-nidra est une épopée sur les chemins nocturnes de l’intériorité. Pour revenir au plan chronologique, l’un prépare à l’autre, relaxation prépare à yoga-nidrâ.

    Il n’y a donc pas d’antagonisme entre eux, pas plus qu’entre le moyen et la fin. On pourrait oser la formule : « faire du yoga-nidrâ c’est faire de la relaxation, mais faire de la relaxation ce n’est pas faire du yoga-nidrâ ». Oui, on pourrait oser, mais les formules ont si peu d’intérêt !

    Si l’on revient à l’essentiel la relaxation propose de se relaxer et yoga-nidrâ de ne pas perdre un tiers de sa vie. Mais l’un n’empêche pas l’autre.



    Commentaire de tag (03/07/2006 19:22) :

    c long


    Commentaire de angélica (04/07/2006 16:16) :

    c tro lon ,c chiant ,ca fé con


    Commentaire de ton loucas (12/08/2006 18:36) :

    ta resond d'en faire et continue car ca te fait du bien et tu es prete dans 5 annees alors continue .




     
     

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